Résumé :
|
Le père de l'auteur : souvenirs de l'amour, de la complicté, des on-dits, de l'absence. Souvenir des plateaux de cinéma où il l'emmenait parfois. Souenir de l'enfance passée dans le midi, de ce visage parfois lointain, comme absent..."Il y a ton silence." La parole émerge, née de l'amour, de la complicité, des non-dits, de l'absence. Souvenirs des plateaux de cinéma, où il l'emmenait parfois, souvenirs de celui qui pliait les matériaux à tous ses projets, souvenirs de l'enfance dans le Midi, de la douceur de la vie, des regrets, des attentes aussi, souvenir de ce visage parfois lointain, comme absent, comme autre part, en recherche, de quoi ? Il, lui, le père. Son empreinte parcourt tout le récit d'Olympia Alberti, jusqu'à la certitude que l'amour n'efface pas l'amour.
|